Cette histoire commence bien après « La Grande Ere Des Pirates », et bien avant « La Nouvelle Ere Des Pirates », enfaite, cette histoire ce situerait même au milieu de ces deux Grandes Eres.
Pendant que le monde se divisait en deux parties, l’une, en Monde ordinaire, avec sa Justice parfaite qui protège le monde par la violence de la Marine et son Injustice imparfaite qui joue sur la race des gens et qui différencie l’homme de l’humanisation à la sauvagerie part la discrimination raciale. Et, l’autre, en Monde de Rêves qui créa des mouvements planétaires appelé manifestations qui conduit l’homme jusqu’au plus haut de ses sommets notamment appelé « La Mort ». (« ShiNu » signifie « La Mort » en Japonais Littéraire). Un mouvement révolutionnaire ce préparé sous forme de rébellion planétaire qui se forma tout d’abord par des pensées qui pouvaient anéantir en un instant les rêves de personnes mesquin qui ne pense qu’a leurs intérêts et ne pense en aucun cas au bonheur du monde, ensuite, ce mouvement se fonda sur une Grande Armée, « L’armée Révolutionnaire ».
C’est au Royaume de Gao, que naquît un enfant, c’est enfant était le fruit de deux grandes opposition, l’une, d’une mère totalement respectée dans les grands fonds marin, appelé « Marine », et l’autre, d’un père interdit à la société et prit de passion pour les grandes aventures marine, appelé « Pirate ». Depuis tout petit, l’enfant vécu chez une famille issu de la bourgeoisie qui était très cruelle, sauf le père « nommée Sagayuki » qui prenait ce petit comme son propre fils. Avant sa mort, qui se déroula 4 ans plus tard, il parla à l’enfant :
Sagayuki : Mon enfant, viens je te prie.
L’enfant avança vers son père.
Sagayuki : Cela fait très longtemps que tu vie parmi nous, j’aimerais te poser une question, aime tu cette vie ? (Kof, Kof)
Rayan : …Je ne sais pas, vous m’avez recueilli comme un fils, tandis que Myu « Nom de sa mère adoptif » veux ma mort… Je ne sais pas trop quoi penser…
Sagayuki : Je vois (Kof, Kof), depuis que tu es venue j’ai compris la vrai nature de ma femme, malheureusement, je n’ai pu divorcer, en te recueillant, je ne voulais pas faire de différence entre toi et mes autres enfants…
Rayan : Vous me prenez réellement comme un fils ?
Sagayuki : Rayan, je t’ai toujours aimé comme mon propre fils… Alors, ne pense pas a sa… Mais, il faut que je t’explique quelque chose… Tu sais très bien que tu n’es pas de mon sang… Et, il faut que je te dise ton vrai nom ! Quand ton père est venu te déposé dans mes bras, il me dévoila ton vrai nom, et aussi qui il était…
Rayan : … Qui était-il ?! Comment je m’appelle ?! Je veux savoir ! Ceux son 2 de mes plus grandes questions dans ce monde ! Celle qui me détruise ma vie, et qui consume mon âme !
Sagayuki : (Kof, Kof), Alors je vais te répondre, tu te nomme, ShiNu D. Rayan…
Rayan : ShiNu D. ? Mais, que signifie ce « D », et pourquoi m’avoir donné le nom « ShiNu » ?
Sagayuki : Ahahahah, seul toi peux le découvrir, ton père m’avait expliqué en vitesse, ce qu’il signifiait ce « D », et même pourquoi tu te nomme « ShiNu », mais, je ne peux rien te dire… Même le nom de ton père, tu devras le découvrir tout seul ! (Kof, Kof, Kof, Urghh).
Rayan : Père ! Père ! Ne me laissez pas tout seul… Je vous en prie…
Sagayuki : Rayan, mon fils… (Kof, Kof) Je veux juste te dire… Quoi que tu fasses, quoi que tu deviennes, ne renonce jamais ! Je compte sur toi mon fils… (Kof, Kof)… Ne vie jamais dans le regret… (Urghhh) Aurevoir… Mon fils…
Rayan :(Ugh, u, wu) Oooooouuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiinnnnnnnnnnnnnn ! Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah !
C’est sous les larmes de notre Hero, que notre aventure commence réellement. Le monde s’apprête à connaitre une forte vibration qui viendra a bout de toutes nos surprises… Cette enfant qui avait hérité de la « Volonté du D » était comme tant d’autre, des porteurs de la liberté, seul peu de personne en prennent réellement conscience, mais, cette enfant qui avait était recueilli par un homme qui avait soif de liberté, qui n’était pas comme la majorité de la noblesse, venait d’hérité de la grande sagesse du monde. « Quoi que tu fasses, quoi que tu deviennes, ne renonce jamais ! […] Ne vis jamais dans le regret… ».